»Als Kind habe ich aus angespülten Holzstücken Hütten gebaut – als Künstler mache ich heute Plastikmüll-Skulpturen.« »Pendant mon enfance j’ai bâtis des cabanes du bois-aujourd’hui, comme artiste, je fais des sculptures des déchets en plastique.«
5 Fragen an Gilles Cenazandotti
5 questions à Gilles Cenazandotti
„Als Kind habe ich aus angespülten Holzstücken Hütten gebaut“, sagt Gilles Cenazandotti im Gespräch mit Magazin für Restkultur. Und ergänzt nachdenklich: „Heute finde ich hier auch immer mehr Müll“. Aufgewachsen ist Cenazandotti am Nordkap Korsikas, an dessen Küste vermehrt Plastikmüll angetrieben wird. Daraus gestaltet er wundersame Tierskulpturen, wie den oben abgebildeten Eisbären – im Maßstab 1:1. Aufmerksam macht der Künstler damit nicht nur auf die horrende Meeresverschmutzung, sondern auch auf vom Aussterben bedrohte Tierarten. „Quand j’étais enfant, j’ai bâtis des petites cabanes avec des morceaux de bois, qu’on trouve au bord de la mer ,“ raconte Gilles Cenazandotti durant la conversation que nous avons eu avec lui pour une reportage illustré au profit de notre magazine magazine de la culture des restes. „De nos jours je trouve ici beaucoup plus de la poubelle qu’avant“, ajout’il à lair pensif. Cenazandotti a grandit au Cap Nord de la Corse. Cette Côte laquelle devient de plus en plus noyer des ordures de plastique. Exactement de ces ordures il forme des sculptures des animaux – étrange et au même titre magnifique. Comme cet ours polaire, par example, représenté ci dessus en mesure 1:1. Ainsi le sculpteur attire l’attention non seulement à la pollution ènorme de la mer, mais aussi à la menace de l’extinction de la vie aquatique.
Magazin für Restkultur: Was genau ist die Idee hinter Deinen Skulpturen?
Par quoi as-tu eu l‘idée de former ces sculptures ?

Je vis au nord de la corse. Depuis peu beaucoup des poubelles et des restes en plastique et aussi du bois étaient rejeté du continent italien et francais. D’une tempête à l’autre nous avons eu de plus en plus des restes en plastique. Pendant mon enfance j’ai bâtis des cabanes du bois-aujourd’hui, comme artiste, je fais des sculptures des déchets en plastique. Avec mes sculptures je veux attirer l’attention des gens sur la pollution de nos mers. Je suis particulièrement fier de l‘ours polaire. La couleur blanc est le symbole de la pureté-à vrai dire: entretemps ce mot a perdu son sense pour moi. En outré j’ai choisi volontairement des animaux qu’ils ont menacé de l’extinction ou qu’ils ont en prise directe de la pollution de la mer.
Wie sieht der typische Entstehungsprozess aus?
Comment je dois m’imaginer la gestation typique d’une sculpture ?
C’est un chemin assez loin, j’usqua les sculptures sont achevé. Les plages sont dépollué pour les touristes, mais aux endroits d’accès difficile comme les rochers ou les côtes, la poubelle s’amasse. Alors je ramasse souvent un à trois metres cubed de la poubelle. La procédure de la gestation se passe normalement à la facon suivante: Quand j’ai ramassé toutes ces choses, quelles ne sont pas des éléments naturelles de la mer, je trouve des objets, quelles me souviens à certains animaux. Au bac à essence d’un moto, par example, je voyais le museau d’un crocodile. Autrefois je voyais des parties de la poubelle quelles m’encourage de former un loup. Je ne coupe ou falsifie pas les pieces pour les adapté au sculptures. Je compose les pieces, j’usqua le résultat est l’animal desire. C’est ca l’art. Enfin je nettoie les pieces sales avec de l’eau de pluie et des produits vaiselle biologique.
Was treibt Dich dazu an?
Par quoi tu te motives ?

J’ai cherché un moyen pour indiquer d’une facon positive au problème de la pollution de la mer. Des images négatifs nous avons déjà assez. Par ailleurs: c’est suffit que je me mets presque à pleurer, si je vois tous ces déchets sur nos plages. Il faut que le devoir des artistes doit être attire l’attention des gens, mais d’une manière non dégoûtante. Une facon d’exposer positive attaint le contemplateur peut-être plutôt.
Und Deine nächsten Projekte?
Lesquelles ont tes prochaines projets ?
Sur la Corse, par example, nous avons des rares orfraies. Elles prennent les déchets du plastique comme des poissons et elles les dévorent. C’est pourquoi je forme actuellement une sculpture d’une orfraie. Je fais mon travaille et j’essaie en outre de développer une méthode pour éviter que la poubelle ait rejeté aux plages. J’attire l’attention de la population de la Corse avec des installations artistique avec des objets trouvés à la plage. Parfois aussi les enfants et les artistes d’ici travaillent avec moi.
Kann man Deine Skulpturen vielleicht sogar bald in Deutschland sehen?
Ou peut-on voir tes sculptures réellement et peut-être aussi en Allemagne ?
Pour le moment j’expose les sculptures des animaux au Carroussel du Louvre à Paris. La ils ont le pôle d’attraction. En ce moment un tour vers l’Allemagne j’ai ne pas encore planifié-malheureusement.
Wir danken Gilles Cenazandotti für das Gespräch. Merci, Gilles!
©Fotos: Gilles Cenazandotti/François Caillon/Galery 13jm
mit freundlicher Genehmigung Gilles Cenazandotti
Wir danken Monika Jung für die Übersetzung